“Coaches are like ducks. Calm on top, but paddling underneath. Believe me, there’s a lot of leg movement.”
Kenneth Hitchcock
La vraie clé du Leadership : oser se faire aider.
Un entraineur, dans l’inconscient collectif, n’a besoin de personne, il est fort en toute circonstance. Impossible de montrer ce qui pourrait être interprété comme une faiblesse. Me faire aider = je suis faible ou je ne vais pas bien.
Il est temps de faire tomber le mythe du « Je n’ai pas besoin d’aide » …
Un coach devrait être prêt à répondre aux besoins des autres en mettant de côté les siens ? Vous trouvez cela sérieux ?
Les coachs outre-Atlantique valorisent depuis longtemps l’appel à l’aide en partageant leur collaboration avec un superviseur (« sparring partner » aux US). C’est très naturellement qu’ils demandent du feed-back et un travail sur eux-mêmes pour supporter la pression et les exigences de leur poste.
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QU’EST CE QUE LA SUPERVISION ?
La supervision est un accompagnement professionnel qui vise à développer ses compétences, à favoriser la réflexion et à optimiser ses performances. C’est un espace dédié à l’analyse, à l’échange et à la croissance personnelle et professionnelle.
LES AVANTAGES DE LA DÉMARCHE RÉFLEXIVE
La démarche réflexive, au cœur de la supervision, offre une perspective unique sur notre manière de travailler et d’interagir. Elle permet d’identifier les forces de dépasser les défis et d’améliorer continuellement nos pratiques. Un outil essentiel pour rester à la pointe de son domaine.
NE PAS RESTER SEUL !
Coachs sportifs, la solitude professionnelle peut être un frein considérable à l’épanouissement.
Le mythe du « je n’ai pas besoin d’aide » est souvent tenace par peur de paraître vulnérable. Mais s’entourer d’un professionnel compétent offre un soutien personnalisé et un regard extérieur sur ses défis quotidiens dans une démarche de progrès au service de sa performance.
CONFIDENTIALITÉ ET SÉCURITÉ : MA PRIORITÉ
Dans mon travail d’accompagnement, la confidentialité est sacrée. Mes clients peuvent s’exprimer en toute liberté, en sachant que notre collaboration se déroule dans un environnement sécurisé. La confiance est la clé de notre partenariat.
Mon approche
Les fonctions de la supervision
Soutien
L’entraineur sportif trouve ici un espace où il peut évoquer en confiance ses difficultés et se sentir ainsi soutenu
Réflexivité
L’entraineur peut « décortiquer » les éléments de l’expérience qu’il apporte et regarder sa problématique avec d’autres angles de vue, faire jaillir la prise de conscience
Résolution
Le travail réalisé avec le superviseur permet à l’entraineur d’analyser la situation qu’il vit et de co-construire des solutions
Développement
Par le travail de supervision, l’entraineur développe naturellement de nouvelles compétences et aptitudes
Concrètement,
cela se passe comment ?
La supervision se fait en séance individuelle, ou en petit groupe, sous le contrôle du superviseur.
En fonction du besoin, plusieurs séances sont programmées tout au long de la saison. Je me tiens disponible entre les rendez-vous pour un support ponctuel par téléphone.
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SÉANCE INDIVIDUELLE
Accompagnement personnalisé entre le superviseur et un seul supervisé, permettant une réflexion plus profonde et ciblée sur les enjeux personnels et professionnels du supervisé, offrant un espace confidentiel et sécurisé pour aborder ses difficultés spécifiques. Le format varie de 1h15 à 2 heures la séance selon la situation et les enjeux.
Le tarif est adapté au poste de la personne supervisée et à son financement.
SÉANCE COLLECTIVE
Format réunissant plusieurs supervisés. L’échange entre pairs enrichit la réflexion en apportant différentes perspectives. Ce format favorise la co-construction de solutions et permet un apprentissage mutuel, tout en conservant un cadre confidentiel. La durée des séances varie selon le nombre de participant (en moyenne 3 heures).
Le tarif est adapté au poste de la personne supervisée et à son financement.
Mon profil
Mental performance coach | Coach professionnelle | Executive superviseure
Coach professionnelle, superviseure et préparatrice mental, je mets plus de 25 ans d’expérience au service de celles et ceux qui portent la responsabilité de la performance collective.
Mon approche est fondée sur la supervision, la démarche réflexive et le développement personnel, avec une spécialisation dans les sports d’équipe et les environnements à haute pression.
J’accompagne les leaders qui souhaitent :
✅️ Prendre du recul sur leurs pratiques et décisions
✅️ Préserver leur vitalité mentale
✅️ Renforcer leur posture managériale
✅️ Développer leur performance de manière durable
Mon travail s’appuie sur une diversité d’outils (TCC, ACT, ANC, TOP, logothérapie…) et une posture exigeante, authentique et bienveillante.
Basée entre la France et le Québec, j’interviens en individuel ou en collectif, en toute confidentialité.
Outils et approches
- TCC (Techniques de coaching Cognitif et Comportemental)
- ACT (Acceptation and Commitment Therapy)
- ANC (Approche Neurocognitive et Comportementale)
- Méthode centrée sur les solutions et les compétences
- Existenzanalyse
- TOP (Techniques d’Optimisation du Potentiel)
- Systémie
- Entretien d’explicitation
Certifications
- Executive Superviseure de dirigeant et manager – HEC Paris
- Praticienne TOP (Techniques d’Optimisation du Potentiel)
- Praticienne ANC (Approche Neurocognitive et Comportementale)
- Praticienne en Existenzanalyse et Logothérapie – Ecole Française d’Analyse et Thérapie Existentielles
- Coach d’organisation – Université Paris DAUPHINE
Diplômes
- DU Neurosciences et apprentissages tout au long de la vie – Université d’Angers
- DU Préparation Mentale Appliquée à la Performance Sportive – Université d’Orléans
- DU Coaching professionnel – Université d’Angers
- M2 Consultant en bilan des compétences, orientation, et RH – Université Paris 8
Blog
Mon regard sur mon actu de coach mental et superviseure, mes questionnements et réflexions issus de ma pratique auprès des entraineurs et des sportifs
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MON BLOG
Le sommeil : un levier clé pour la récupération et la performance
Qui dit compétition internationale, dit fonctionnement en mode dégradé. Mon actu m’invite à évoquer cette semaine la récupération qui fait partie intégrante de la perf et de la préparation mentale !
Qu’il s’agisse de coaching, de sport, de management, on insiste souvent sur l’action : s’entraîner, répéter, s’organiser, repousser ses limites. Pourtant, une dimension essentielle reste parfois mal considérée : la récupération. Et le sommeil (dormir et bien dormir) est la clé de la récup.
Une revue systématique publiée en février 2025 dans Quality in Sport (The Importance of Sleep in Athletic Performance – A Systematic Review) vient rappeler une évidence qu’il est bon rappeler : le sommeil est bien plus qu’un temps de repos. Il est un pilier central de la performance, de la récupération et de la santé mentale.
Si les résultats concernent les sportifs, ils sont bien évidemment tout aussi pertinents pour tous ceux dont l’outil de travail est : soi-même.
Nouveau poste : ligne d’arrivée ou starting-blocks ?
La nouvelle saison a commencé et, comme chaque année, avec elle la prise d’un nouveau poste pour un bon nombre de professionnels du sport.
Décrocher un poste pour lequel on a travaillé fort afin d’être choisi, c’est une réussite. C’est une reconnaissance, parfois l’aboutissement de plusieurs années d’efforts, d’expériences accumulées, de sacrifices consentis. Mais n’avez-vous jamais eu la sensation de prendre ce recrutement comme une ligne d’arrivée : « j’y suis enfin ! ». En fait il est fréquent que, oui, mais on ne s’en rend pas toujours compte. Et cela peut être dangereux. Parce que si l’on aborde cette étape comme un sommet atteint, le risque est grand de basculer dans une posture statique. Or, dans la réalité, le vrai travail commence à partir du moment où l’on entre dans ce nouveau poste. C’est un point de départ, et non une ligne d’arrivée.
De la pression du métier de coach, à sa propre posture : entrainer « juste »
Il y a quelques jours, j’ai lu un article sur le site d’information de l’Université Laval, Québec, qui m’a questionnée.
Dans le sport, on entend souvent parler de force, de discipline, de dureté. On célèbre les entraîneurs « qui ne lâchent rien ».
Avez-vous parfois cru que hausser le ton, durcir vos exigences, ou bousculer un sportif était « pour son bien » ? Avez-vous déjà pensé : « S’il veut réussir, il doit encaisser » ?
L’article explique qu’entre 44 % et 86 % des entraîneurs admettent avoir déjà eu un comportement violent. Ça force à se demander : quelles traces ai-je laissées chez les personnes que j’ai entraînées ? Non ?
Témoignages
« J’hésitais au début. Personne n’aime se foutre à poil. Mais honnêtement, j’aurais aimé commencer plus tôt. »
« C’est un espace où je peux évoquer tout ce que je ne peux pas évoquer ailleurs. »
« Je manque de temps mais ce temps je le préserve, il me fait du bien. »
« J’ai vraiment passé un step avec ce travail. »
« I didn’t realize how much my own growth could impact my team. Now I do. »
« I thought I’d be uncomfortable. Turns out, it was exactly what I needed. »
« Je manque de temps mais ce temps je le préserve, il me fait du bien. »
« J’apprécie ces échanges, ils me permettent de construire ma pensée. »
« C’est un espace où je peux évoquer tout ce que je ne peux pas évoquer ailleurs. »
« J’hésitais au début. Personne n’aime se foutre à poil. Mais honnêtement, j’aurais aimé commencer plus tôt. »
« J’ai vraiment passé un step avec ce travail. »
« I thought I’d be uncomfortable. Turns out, it was exactly what I needed. »
« I didn’t realize how much my own growth could impact my team. Now I do. »
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